"Ne oa ket eun hent d’ar poent-se" (il n’y avait pas de chemin à ce moment-là). On est bien là en janvier 2017, à regarder l'île Venan. Mais on connaît ce paysage depuis au moins quarante ans. Là où il y a un pont, on voit le paysage quand il n'y avait pas de pont. On est des émigré.es temporel.les parce que les actuels habitants n'ont pas en tête le paysage sans pont ; nous, si. François Pinagot, à la fin.